Au nombre de trois ou quatre selon que l’on se place en sophrologie Caycédienne pure ou dans les courants plus libéraux :
Action positive : Tout vécu positif entraîne des réactions positives en chaîne. Les techniques renforcent et dynamisent les structures positives de la conscience par l’intermédiaire des sensations, sentiments, souvenirs, ainsi que des anticipations et attitudes positives envers soi-même et envers sa propre existence.
La répétition du positif amène à développer des habitudes, des valeurs qui renforcent l’harmonie de la conscience.
Intégration du schéma corporel, comme réalité vécue. C’est la représentation que nous nous faisons de nous-mêmes. Le schéma corporel, perturbé au cours de son élaboration, altéré par la maladie, peut être rééquilibré, enrichi, intégré par des activations variées. L’intégration de ce nouveau schéma 7 corporel conduit à la consolidation de l’équilibre corps/esprit, à avoir une meilleure relation avec soi-même et à se comporter plus sereinement dans la vie.
Au fur et à mesure de son entraînement la personne perçoit peu à peu son corps à des niveaux de plus en plus profonds. Au départ, elle apprend à percevoir la forme et le mouvement de son corps, plus tard elle développera une prise de conscience de ses sensations, de ses perceptions, ainsi que la présence des différents tissus de son corps puis de ses organes internes (intérocéption). En sophrologie, nous le vivons tel qu’il est en réalité et non tel que nous l’imaginons être. Pour avoir conscience de soi, il faut d’abord avoir conscience de son corps.
Réalité objective : Le Sophrologue doit comprendre et percevoir son propre état de Conscience et celui de son patient pour être un guide, et établir une alliance.
Le principe de l’adaptabilité Le Sophrologue s’adapte au rythme de ses patients pour leur enseigner les techniques choisies.
Notons que la méthode est enseignée au patient de sorte qu’il l’intègre totalement afin de pouvoir la pratiquer, à terme, de façon autonome.